Transport aérien : de la diabolisation à la sanctuarisation ?
Résumé
Le trou d’air de la pandémie est oublié. Le transport aérien vole de nouveau de record en record. Ce dynamisme retrouvé interpelle dans la mesure où les avions vont continuer, pendant encore longtemps, à consommer très majoritairement des carburants fossiles, à l’origine d’importantes émissions de gaz à effet de serre (GES). Faut-il en conclure que le transport aérien doit être diabolisé alors même qu’il se démocratise rapidement ?